Dinard : 26ème Festival du Film Britannique
Dinard est pendant quelques jours la capitale du cinéma britannique.
La présence des Anglais à Dinard constitue une originalité par le rôle joué par cette communauté dans l’invention et le développement du Dinard balnéaire.
Une plaque commémorative, située sur la promenade des Alliés, mentionne leur arrivée en 1836, date d’installation du nouvel embarcadère à l’anse du Bec de la Vallée.
Vers 1840, le consul Anglais, Alpyn Thomson, fait partie de ces premiers découvreurs amoureux du site.
Dix ans plus tard, il est suivi par les Sedgwich, les Monteith et les Faber, pionniers qui feront partager les beautés du site à leurs amis anglo-saxons installés à Dinan ou à Avranches
Les Anglais se retrouvent à l’église anglicane ou dans les clubs anglais de la ville.
Les activités sportives pratiquées dans des clubs fermés, le tennis, le golf ou le yachting,deviendront les « emblèmes » de la villégiature balnéaire.
Le goût anglais est également très présent dans les constructions. L’influence anglo-saxonne se lit dans la structure même des édifices, dans leur pratique et leur rapport à l’environnement.
La mode anglaise « more glass than wall », plus de verre que de mur,a généré l’ouverture de nombreux bow-windows dans les villas de la fin du XIXe siècle.
L’influence britannique se lit aussi dans les parcs aménagés par des paysagistes anglais comme celui de la villa Castelmond.
A l’intérieur des châteaux de bord de mer, de grands halls sont traités à l’anglaise,villa La Garde, château des Deux-Rives et s’inspirent des grandes demeures britanniques.
Mais l’empreinte anglaise est aussi visible dans les pratiques collectives d’hébergement que l’on retrouve dans les appartements des villas Miramar et Castelmar, véritables maisons à l’anglaise.
Station balnéaire très appréciée par les Britanniques, Dinard accueille, de façon logique, un festival de cinéma consacré au cinéma britannique
Chaque année, six films sont en compétition, dont le meilleur,
désigné par un jury de personnalités, remporte le prix du Hitchcock d’or
Aéroport de Dinard-Pleurtuit
Gilles Tellier, directeur des aéroports de Rennes, Dinard et Quimper
Martine Craveia-Schütz Maire de Dinard
se préparent à accueillir les invités du Festival et les membres du Jury Britannique
Titulaire d’une license de pilotage commercial, diplômé en logistique et transport de l’université de Lille, Gilles Tellier a débuté sa carrière en 1990 chez Europe Airpost comme Assistant manager au sol.
Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans le transport aérien, il a occupé différents postes au sein de compagnies aériennes AOM, TAT, avant de monter en responsabilité pour Sabena au sein de l’aéroport de Strasbourg en 1995 en investissant les missions de Station manager.
Nommé à la tête des opérations au sol de Brit Air à Morlaix en 1999, il prend la direction de l’aéroport de Limoges entre 2006 et 2011.
Depuis lors, Gilles Tellier dirigeait l’aéroport de Phnom Penh au Cambodge, géré par Vinci Airports et Cambodia Airports.
Il a investi ses nouvelles fonctions au sein des aéroports de Rennes-Dinard-St Malo-Quimper, également gérés par Vinci Airports
Atterrissage de l’avion en provenance de Londres
Tarmac de l’aéroport – au pied de l’avion –
Martine Craveia-Schütz accueille Helena Mackenzie,
responsable des investissements et du développement pour Film London
Amara Karan – Hussam Hindi, Directeur artistique du Festival
Helena Mackenzie – Amara Karan – Natalie Dormer
Gilles Tellier – Dionne Taylor – Noah Taylor – Martine Craveia-Schütz – Hussam Hindi
Amara Karan – Natalie Dormer – Helena Mackenzie
Noah Taylor acteur australien né à Londres – Charlie et la chocolaterie
Formalités de Douane et Police de l’Air et des Frontières
Gilles Tellier, directeur de l’aéroport de Dinard vient saluer Dionne et Noah Taylor
Grand Hôtel Barrière de Dinard
Thierry Godin, Concierge Clefs d’ Or
au Grand-Hôtel Barrière de Dinard
Qu’est-ce qu’un Concierge Clefs d’Or ?
En 1929 Pierre Quentin, concierge à l’Hôtel Ambassador à Paris décide de créer une Amicale regroupant des hommes exerçant le même métier : “Concierges d’Hôtels, appelés alors Portiers des Grands Hôtels.
Le but de cette association était de fédérer les portiers de France pour faciliter leurs relations, la communication mais aussi réfléchir aux techniques de travail et faire évoluer la profession. L’association prit pour nom “Les Clefs d’Or” France.
Dès sa création, l’association des Clefs d’Or a choisi de demander à ses adhérents de porter sur les deux revers de leurs uniformes des clefs dorées entrecroisées.
Ce signe de distinction est aujourd’hui mondialement reconnu. Tout client habitué à séjourner dans un établissement de luxe sait immédiatement reconnaître un concierge dans le hall d’un hôtel.
Les concierges “Clefs d’Or” au travers d’une charte de qualité, garantissent un service de grande qualité.
Seuls les membres adhérents ou actifs de l’association des Clefs d’Or peuvent porter ses clefs.
Pour devenir adhérent, un concierge doit avoir travaillé au moins 2 ans à un poste de concierge d’hôtel, être parrainé par deux membres actifs et reconnus de l’association. Après une période d’observation de trois ans, un membre adhérent peut devenir à son tour membre actif de l’association.
Le nom, les logos et les Clefs d’Or portées par les membres sont enregistrés et protégés.
Dominique Desseigne président-directeur général du groupe Lucien Barrière
Marie Mamgioglou journaliste à Télématin présenté par William Leymergie sur France 2
Arrivée des premiers membres du Jury Français
Martine Craveia-Schütz Maire de Dinard accueille Bernard le Coq
Bernard Le Coq donne le ton à cette 26ème édition qui sera placée sous le signe du sourire
Emma de Caunes Alexandra Lamy
Alexandra Lamy Mélanie Doutey
« Soyez les Bienvenus à Dinard »
L’ agent en charge de la coordination du Jury, à peine arrivé déploie, une fois de plus, tout son zèle dans l’ Art de pourrir les images de façon habilement maladroite et se place toujours là où il ne le faut pas
Alexandra Lamy et Mélanie Doutey, membres du Jury
Pierre Salvadori réalisateur , membre du Jury
Krystel Veillard assure le reportage pour France Télévision France 3 Ouest
Laurent Grégoire, agent artistique, dirige l’Agence Adequat,
Sylvie Pautrel régie partenariats Dinard Comedy Festival – Grégory Weill, agent artistique Adequat
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Laurent Grégoire, patron de l’agence Adéquat, gère les intérêts artistiques de Marion Cotillard, Monica Bellucci, Vincent Cassel, Emmanuelle Béart, Kristin Scott Thomas, Laetitia Casta, Ingrid Chauvin, Gad Elmaleh, Lorànt Deutsch, Isabelle Carré et Karin Viard …
soit plus de quatre-vingts actrices et acteurs.
« Pour Laurent Grégoire, tout a commencé alors qu’il avait 23 ans.
Une rencontre avec Clémentine Célarié, qui sortait du succès de « 37,2 » de Jean-Jacques Beineix, l’a fait plonger dans le milieu du cinéma. « Clémentine, après la discussion amicale que nous avions eu, m’a dit : Monsieur, vous devriez être agent … Je l’ai écoutée. Je me suis lancé et je me suis occupé d’elle »
Holly Carey, représente l’agence artistique Lisa Richards – Dublin & Londres – Hussam Hindi
Noah Taylor, Natalie Dormer et Mélanie Doutey
pour la projection du film en compétition Kill Your Friends, réalisé par Owen Harris
Arrivée de Jean Rochefort, suivi de près par le facétieux Rémi Perrot de BFMTV
Jean Rochefort est né dans le 20e arrondissement de Paris.
À l’instar de ses amis Jean-Pierre Marielle et Philippe Noiret, Jean Rochefort s’est peu à peu imposé comme une figure du cinéma français dès les années 1960.
Reconnaissable à sa voix chaude et à sa moustache, il a joué dans près de cent douze films et cent cinquante si l’on compte les téléfilms.
D’abord voué aux seconds rôles, notamment au côté de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche, Les Tribulations d’un Chinois en Chine ou L’Héritier, il s’est imposé comme un acteur de premier plan dès 1972 avec son rôle d’Alexandre Boursault dans Les Feux de la Chandeleur, film où il a pour partenaires Annie Girardot, Claude Jade et Bernard Le Coq
Jean Rochefort est ensuite au sommet de l’affiche de plusieurs films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noire, L’Horloger de Saint-Paul, Que la fête commence, Un éléphant ça trompe énormément et sa suite, Nous irons tous au paradis, Le Crabe-tambour, Le Moustachu, Tandem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule, ou encore Le Placard.
Jean Rochefort est né à Paris, de parents bretons, son père Célestin Rochefort, cadre dans l’industrie pétrolière, est originaire de Dinan, et sa mère Fernande Guillot, y est comptable.
Jean Rochefort grandit à Vichy et pendant la Seconde Guerre mondiale à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine, puis il rejoint Vincennes.
Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés.
Il désespère son père, à l’opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique et devient ultérieurement ingénieur général de l’armement
Helena Mackenzie Amara Karan
Après la guerre, à seize ans, il est embauché comme garçon de bureau à la Banque de France. Durant la même période, la famille Rochefort achète une résidence secondaire à Saint-Lunaire.
Mais en 1948, à la suite d’une mésentente passagère entre ses parents, Jean et sa mère sont contraints de rester en Bretagne après les vacances estivales.
C’est durant l’hiver de cette année-là que l’ennui le lie au fils de la marchande du bazar qui le persuade de prendre des cours de théâtre à Nantes, puis l’année suivante, de venir à Paris suivre à dix-neuf ans les cours à l’école de la rue Blanche
à la gauche de Jean Rochefort, Françoise Salimov agence Artmédia Paris
Jean Rochefort entre au Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris où il a pour condisciple Jean-Paul Belmondo,Claude Rich et Jean-Pierre Marielle, mais il apprend, le 30 juin 1953, qu’il n’est pas admis à concourir.
Après son service militaire en 1953, il travaille avec la Compagnie Grenier-Hussenot comme comédien durant sept ans.
Il y est remarqué pour son aisance à jouer tant le drame que la comédie.
Alternant des rôles dans des films grand public et des films d’auteurs, Jean Rochefort est devenu une figure emblématique du cinéma français,
Jean Rochefort a été plusieurs fois récompensé, avec deux César pour des rôles en 1976 et 1978, et un César d’honneur, couronnant l’ensemble de sa carrière.
La salle Alfred Hitchcock
La salle de Debussy du Palais des Arts et du Festival, en travaux, est demeurée fermée cette année.
Afin de pallier à ce manque, la salle Alfred Hitchcock fait son grand retour sur le parking Raphaël Veil
Cette structure gonflable est composée de deux semi-remorques de 14 mètres de long
La salle Alfred Hitchcock est en elle même une attraction.
La salle est gonflable et peut accueillir jusqu’à 300 personnes. Son créateur imagine le concept
l’année du centenaire du cinéma en 1995 et concrétise son rêve deux ans plus tard
Cette salle itinérante, tout d’abord appelée l’impérial Bioscope, se déplace sous la forme de 2 semi remorques de 14 mètres de long, soit la largeur de la salle.
La première déploie ses murs sur lesquels sont fixés les 300 fauteuils et forme le plancher incliné.
La seconde comporte la salle de projection, les sas d’entrée et les locaux techniques.
Cette salle portable, renommée le temps du festival Salle Alfred Hitchcock, appartient aujourd’hui à la société Dorléans, dont le siège est situé à Theix, dans le Morbihan
Cinéma Alizés 1
fin de la projection de American Hero, film en compétition réalisé par Nick Love
Alexandra Lamy, toujours souriante – Helena Mackenzie
Jean Rochefort commence sa carrière au théâtre à l’âge de vingt-trois ans.
Il se dit comblé par cette expérience car il a interprété des auteurs anglais comme Harold Pinter et a eu des partenaires sublimes comme Delphine Seyrig.
Au cinéma, il connaît le succès dès 1961 avec Cartouche, puis avec Les Tribulations d’un Chinois en Chine en 1965.
Porté par le succès, il enchaîne avec le tournage de trois épisodes de la série Angélique, marquise des anges, entre 1964 et 1966.
Puis, il réalise deux courts-métrages documentaires, Rosine en 1973, qui témoigne de sa passion des chevaux, et suit les épreuves d’équitation d’une jeune cavalière à Coëtquidan, et T’es fou, Marcel ? Hommage irrespectueux comme tous les hommages en 1974, un portrait du comédien Marcel Dalio.
Il se lie d’une forte amitié avec Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle.
L’année 1973 marque un tournant dans sa carrière. Il obtient un rôle dans L’Horloger de Saint-Paul.
Jean Rochefort considère que ce film a fait de lui l’acteur qu’il allait être par la suite. Il explique que le réalisateur, Bertrand Tavernier, lui a appris à se détendre face à la caméra qui, auparavant, l’impressionnait. Sa personnalité le conduit à jouer dans de nombreuses comédies célèbres, dont les deux diptyques du Grand Blond, 1972-1974 et d’Un éléphant ça trompe énormément 1976-77,
ainsi que La Grande Cuisine, 1978.
Mais il excelle également dans les rôles dramatiques, grâce auxquels il obtient deux Césars.
Il reconnaît aussi avoir tourné dans nombre de « navets » pour assouvir sa passion des chevaux. Il appelle ces films les « films avoines ». Il prête sa voix au doublage en français de nombreux films, notamment d’animation. Entre 1985 et 1988, il présente également Les Aventures de Winnie l’ourson, pour l’émission Le Disney Channel, diffusée sur FR3.
En 2000, il est « Don Quichotte » dans le projet de film inachevé L’Homme qui a tué Don Quichotte de Terry Gilliam avec Johnny Depp et Vanessa Paradis. Lors de ce tournage, qui tourne à la catastrophe, Jean Rochefort souffre d’une double hernie discale, l’empêchant à tout jamais de remonter à cheval. La production est arrêtée.
En 2006, il participe au clip de Vincent Delerm, Sous les avalanches. En 2007, il joue avec son fils Julien Rochefort dans un téléfilm adapté d’un conte de Guy de Maupassant, Hautot père et fils.
Il participe également à l’album La Mécanique du cœur du groupe français Dionysos.
En 2008, il préside la cérémonie des Césars.
Son grand-père paternel fut cocher à Dinan avant de devenir éleveur de chevaux en Bretagne.
À la trentaine, au cours du tournage de Cartouche en 1962, il se découvre une passion pour les chevaux et l’équitation. Il est devenu depuis éleveur de chevaux et possède maintenant le Haras de Villequoy à Auffargis dans les Yvelines. Il affirme avoir mis une centaine de poulains au monde.
Sa passion équestre l’a amené à devenir également consultant pour France Télévision, pour qui il a commenté diverses épreuves équestres, dont celles des Jeux olympiques d’été de 2004, ainsi que la cérémonie d’ouverture.
Jean Rochefort est le parrain du phare de la Vieille dans le Finistère.
En 2007, il s’engage dans le combat des Enfants de don Quichotte en faveur des SDF – Les Enfants de Don Quichotte est une association française présidée par Jean-Baptiste Legrand, créée le 16 novembre 2006 à l’initiative d’Augustin Legrand, Pascal Oumakhlouf et Ronan Dénécé. Son siège social est à Chécy dans le Loiret.
L’intention de ses créateurs est de » soutenir et défendre toute opération tendant à prévenir ou lutter contre les faits de nature à affecter et compromettre le bien-être social et humain »
En 2013 Jean Rochefort devient membre du comité d’honneur de l’Alliance Anticorrida
L’Alliance Anticorrida, déclarée en préfecture le 30 mai 1994 à Nîmes, œuvre pour la protection des mineurs, la suppression des blessures et mutilations infligées aux animaux utilisés au cours de spectacles taurins et l‘abolition des corridas. Les objectifs et moyens de l’association sont régulièrement rappelés dans les diverses publications de l’association sur les réseaux sociaux et dans les médias
Casino Barrière de Dinard
Cérémonie d’Ouverture de la 26ème Edition du Festival du Film Britannique de Dinard
François-Claude Plaisant Sous-Préfet de Saint-Malo
Joseph Hobl, directeur de la sécurité civile au cabinet du préfet d’Ille et Vilaine, Madame Hobl
à g – Pierre-Yves Chevalier – Agence de la Maison Rouge – Maître Laurence Chevalier-Mousson
à dr – Florence et Marc Benoist – Hôtel Villa Reine Hortense
Renault , fidèle partenaire du Festival du Film Britannique de Dinard
Franck Marie, directeur du Grand Hôtel Barrière de Dinard
Equipe du Film en compétition Couple in a Hole
Paul Higgins, acteur, Kate Dickie, actrice, au centre Tom Geens, réalisateur,
Zorana Piggott, producteur, Jérôme Kirsher,acteur
Equipe du Film en compétition Departure – Phénix Brossard, acteur, Andrew Steggall, réalisateur
Guillaume Tobo, producteur, Pietro Greppi, producteur, Jérémie Leloup, tech, Patrick Juiff, acteur
Equipe du Film en compétition American Hero – Allan Niblo, producteur, Nick Love, réalisateur
Lauren McQueen – Brogan Ellis
actrices du Film en comptétition The Violators, réalisé par Helen Walsh
Organiser un « photocall » en fin de journée devant un panneau blanc en partie à l’ombre, et faire poser des personnalités face à un soleil qui les aveugle me semble être une aberration !
Certes les Partenaires doivent être à l’Honneur et il est légitime de les mentionner, cependant il convient de savoir qu’en général les magazines « people » qui publient ces images font en sorte de supprimer les publicités ou cadrent en très gros plan de façon à les éluder …
Par ailleurs, il convient de « situer » un Festival, aussi ne serait-il point envisageable pour la 27° Edition du Festival du Film Britannique de Dinard , en 2016, d’organiser le « photocall » sur fond de mer ?
Il n’y a que quelques marches à descendre pour se trouver face à un panorama extraordinaire et découvrir sur la droite la Cité Corsaire, car finalement, c’est de Dinard que l’on voit le mieux Saint-Malo.
The Red Carpet – Jean Rochefort va présenter les membres de son Jury
Britannique et Français, comédiens, réalisateurs, producteurs
Comme le souligne Emma de Caunes, Jean Rochefort est un concurrent terrible
pour tous les Hommes, car il plait encore, beaucoup, beaucoup aux Femmes
Les Stars savourent le Festival du Film Britannique de Dinard qui a su préserver sa convivialité,
et c’est de bonne grâce que chacun se soumet aux « selfies »
L’ agence parisienne en charge de la communication était, certes, bien sympathique,
mais un peu trop présente sur les images, le « métier » rentrera au fil des ans …
quant à l’amateurisme de l’attachée de presse parisienne, il était consternant et absolu !
Encore un « photocall » dramatique, mi-soleil, mi-ombre
Trop de photographes qui se prétendent professionnels et ne savent pas travailler « en meute », car dans pareil cas il y a des règles à respecter, aussi il convient de s’y plier et de ne pas chercher à se placer dans le champ de vision des « habitués » de ce genre de situation.
Par ailleurs, ce n’est pas l’appareil qui fait le photographe, or, avec l’arrivée des « autofocus » les images sont devenues nettes aussi beaucoup d’amateurs se prennent, soudain, pour de grands artistes, cependant la photographie n’est pas un Art, mais simplement une Technique, qui évolue, sans cesse,
à laquelle viennent s’ajouter l‘oeil, le ressenti et l’expérience
Jean Rochefort, une élégance … indéfinissable !
« La beauté n’est pas toujours élégante, et l’élégance n’est pas forcément belle.
Pour la beauté, il y a des critères figés. L’élégance, elle, a quelque chose de fugitif, d’évanescent.
Si elle a une dimension esthétique , elle a à voir avec la justesse des proportions, l’harmonie
elle est indissociable de l’éthique, d’une façon d’être avec les autres.
L’élégance est … indéfinissable ! » Nathalie Rykiel
« L’édition 2015 du Festival du Film Britannique s’écrit en lettres d’or tant son programme est riche, ses animations nombreuses et son jury prestigieux à commencer par son président, Jean Rochefort.
Si nous apprécions l’acteur truculent, récompensé par trois César®, nous aimons également l’homme, complexe et si attachant.
Premier édile d’une ville tournée vers l’art sous toutes ses formes et vers les sports, en particulier équestres, je suis très sensible à la présence de Jean Rochefort, éleveur de chevaux et comédien, passionné et fidèle de notre côte d’Emeraude.
Il préside un jury prestigieux : Noah Taylor, Mélanie Doutey, Virginie Efira, Alexandra Lamy, Emma de Caunes, Bernard Le Coq, Bertrand Faivre, Amara Karan, Pierre Salvadori…
Le programme est très riche : Festival des scolaires, Dinard fait son cinéma, et leFestival avec 6 films en compétition, 20 films en avant-première, deux hommages, l’un à Hanif Kureishi, écrivain, scénariste et dramaturge britannique l’autre à Tom Hollander, actuellement dans le rôle du Premier Ministre britannique dans Mission Impossible 5…
Je remercie chaleureusement Hussam Hindi et son équipe qui réalisent un travail remarquable pour faire de ce festival un évènement phare de la vie dinardaise. »
Martine Craveia-Schütz
Maire de Dinard
Hanif Kureishi
scénariste et dramaturge britannique. est un des représentants les plus célèbres de la nouvelle « école » d’écrivains britanniques d’origine étrangère.
Ses livres traitent entre autres d’immigration, de racisme et de sexualité.
Hanif Kureishi est né à Bromley ,Royaume-Uni, de mère anglaise et de père pakistanais. Il a étudié la philosophie à l’université de Londres.
Il s’est fait connaitre grâce à My Beautiful Laundrette, scénario de film dont le personnage principal est un garçon d’origine anglo-pakistanaise, homosexuel, qui grandit dans le Londres des années 1980. Le film, réalisé par Stephen Frears, a remporté le New York Film Critics Best Screenplay Award et a été nommé aux Oscars pour le prix du meilleur scénario.
Hanif Kureishi a également écrit pour Stephen Frears le scénario de Sammy et Rosie s’envoient en l’air – Sammy and Rosie Get Laid.
Son roman Le Bouddha de banlieue -The Buddha of Suburbia, 1990 – a reçu le Whitbread Award du meilleur premier roman et a été adapté en série télévisée, avec une musique de David Bowie.
En 1997, la nouvelle My Son The Fanatic est portée à l’écran sous le titre Mon fils le fanatique par Udayan Prasad sur un scénario de l’auteur.
Le roman Intimité – Intimacy, 1998 a provoqué un débat, car l’histoire évoque un homme qui se sent physiquement et émotionnellement rejeté par sa femme avec qui il a deux enfants et la quitte. Le débat ne portait pas sur le livre, mais sur le fait que l’auteur lui–même venait de quitter son épouse et ses deux fils.
En 2000–2001 le roman a été librement adapté au cinéma par Patrice Chéreau. Le film a remporté deux Ours au Festival de Berlin : l’Ours d’Or du meilleur film et l’Ours d’Argent de la meilleure actrice pour Kerry Fox.
La pièce de Hanif Kureishi The Mother, également adaptée au cinéma par Roger Michell, montre une relation où les rôles ont été inversés :
une femme de 70 ans séduit un homme marié de 35 ans et amant de sa fille.
Dans Contre son cœur – My Ear at His Heart, un récit autobiographique, Hanif Kureishi rend hommage à son père qui s’était essayé sans succès à l’écriture et raconte la genèse de sa propre inspiration
Bernard Le Coq
Bernard Le Coq débute au cinéma dès 1967 et obtient très vite un premier rôle dès 1969 dans Du soleil plein les yeux de Michel Boisrond.
Son premier grand rôle est celui de Jean-Paul Boursault, fils d’Annie Girardot et frère de Claude Jade dans Les Feux de la Chandeleur en 1972.
Depuis la fin des années 1970, il va surtout se consacrer à la télévision.
Il est au générique de nombreux téléfilms et séries télévisées, notamment Une famille formidable, Les Grandes Marées, Les Steenfort, maîtres de l’orge.
En 2011 et 2013, il incarne Jacques Chirac pour deux productions différentes, au cinéma et à la télévision.
Jean Rochefort présente Son Jury
puis il souligne que le cinéma britannique a toujours été pour lui synonyme de peur et de rire
Alexandra Lamy , un sourire permanent
« J’ai quelque chose de biologiquement attaché au britanniques dont je balbutie la langue »
Emma de Caunes est sous le Charme
Pierre Salvadori acteur, réalisateur et scénariste
Pierre Salvadori, né en Tunisie de parents Corses originaires de Santo-Pietro-di-Venaco, et Quenza ,arrive à Paris à l’âge de cinq ans. Il suit des cours de cinéma ainsi qu’une formation de théâtre.
Amateur de comédies italiennes, il s’initie aux grandes comédies américaines qui le mènent de Ernst Lubitsch à Hawks et Blake Edwards.
Après un passage au café-théâtre, il rédige en 1989 un scénario de film qui deviendra en 1993 Cible émouvante.
Avec ce premier long métrage, il retient l’attention du public et de la critique, grâce à son sens du rythme et à l’élégance de sa mise en scène.
Auparavant, en 1992, il a réalisé son premier court métrage : Ménage.Il enchaîne ensuite les réalisations de films, poursuivant parallèlement une carrière d’acteur.
Il joue le rôle du réalisateur de cinéma dans Tu vas rire mais je te quitte de Philippe Harel en 2004.
Ses films, généralement à budgets restreints, se caractérisent par un regard porté sur des situations marginales et légèrement décalées,et des personnages qui tentent par tous les moyens de s’en sortir malgré leurs manques.
Mais Pierre Salvadori pose toujours sur eux un regard d’humour et de tendresse.
Pierre Salvadori a construit un univers cohérent autour des motifs du double et de l’amitié, des films qui sont autant de récits d’apprentissage plein d’humour, célébrant le triomphe de la vie
Mélanie Doutey
actrice française née à Paris, fille des comédiens Alain Doutey et Ariele Séménoff
Bertrand Faivre – producteur
Après avoir occupé le poste de directeur des acquisitions chez UGC DA en France, Bertrand Faivre rejoint en 1992 Les Productions Lazennec. De 1993 à 1999, il produira une vingtaine de « courts » français, et de 1996 à 2002, une douzaine de titres européens
Amara Karan
née à Wimbledon, Amara fait ses débuts au cinéma dans The Darjeeling Limited de Wes Anderson.
La première du film eut lieu à la Mostra de Venise 2007.
Elle a fait ses débuts sur scène en 2008 dans une production du RSC « Le Marchand de Venise » et avec le personnage de Bianca dans une production du RSC La Mégère apprivoisée
Emma de Caunes est la fille d’Antoine de Caunes présentateur de télévision puis acteur et réalisateur.
Elle est issue d’une lignée de gens du spectacle, elle s’oriente naturellement vers la comédie.
C’est Sylvie Verheyde qui en 1997 avec Un frère lui offre son premier grand rôle. sa prestation lui vaut le César du meilleur espoir féminin.
La même année sortent deux films plus comiques La voie est libre et Restons groupés.
En 1998, elle tourne Mille Bornes d’Alain Beigel
mais c’est surtout l’occasion pour elle de réaliser Le nombril de l’univers son premier court métrage.
En 1999, elle retrouve Sylvie Verheyde pour Princesses.
La même année, elle joue sous la direction d’Olivier Jahan pour Faites comme si je n’étais pas là
Si Emma de Caunes apparaît en 2002 dans la super production française Astérix & Obélix : mission Cléopâtre réalisée par Alain Chabat, elle semble surtout s‘orienter vers le cinéma d’auteur,
des Amants du Nil au dérangeant Ma mère 2003, adaptation de Bataille par Christophe Honoré, ainsi que La science des rêves, 2005 de Michel Gondry.
On la retrouve ensuite dans plusieurs films bien différents où elle tient un second rôle : elle tient le premier rôle aux côtés de Rowan Atkinson et de Max Baldry dans le film Les Vacances de Mr Bean,
Le Scaphandre et le papillon ou encore Coluche, l’histoire d’un mec, 2008 réalisé par Antoine de Caunes.
La comédienne est également l’héroïne d’un feuilleton télévisé, Rien dans les poches, aux côtés de nombreux acteurs connus dont Nicolas Duvauchelle et Pio Marmaï.
Elle poursuit pour la télévision avec les téléfilms Sweet Dream, Faux Coupable et Lanester.
En 2014, Emma de Caunes revient au cinéma dans l’envoutant et mystérieux La Dune, aux côtés de pointures comme Niels Arestrup et Guy Marchand.
L’année suivante, Olivier Jahan lui offre l’un de ses plus beaux rôles dans son drame Les Châteaux de sable, celui d’une femme brisée qui, suite à la mort de son père, doit vendre la maison familiale. « allociné »
« Ma Femme est à bout de nerfs, je suis Président pour la première fois de ma vie,
il est normal que j’emmerde tout le monde… »
la phrase s’achève par un long rire « unique », incontournable mais inimitable !
Natalie Dormer
actrice britannique, née à Reading, Berkshire, en Angleterre.
Elle est essentiellement connue pour avoir joué la reine Anne Boleyn, deuxième femme du roi Henri VIII d’Angleterre, dans la série Les Tudors, pour son interprétation de Margaery Tyrell dans la série Game of Thrones ainsi que pour Cressida dans les films Hunger Games
Annick Ollivrin, adjointe à la Culture
Autre erreur importante, « parquer » les photographes au pied de la scène, sans le moindre recul, avec comme perspective des prises de vues des « narines », ce qui n’est pas du meilleur effet.
Il serait tellement plus simple de placer un ou deux « praticables », très aisément démontables, au milieu de la Salle, de façon à être à plusieurs mètres de la scène et à la même hauteur que le Jury
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Arrivée « écolo » pour Alexandra Lamy et Emma de Caunes
Alexandra Lamy , Noah Taylor, Emma de Caunes, Mélanie Doutey
Pierre Salvadori Natalie Dormer
L‘Humour, la Bonne Humeur permanente de Jean Rochefort se ressent sur tout le Jury
Jean Rochefort accompagné de Jean-Pierre Pirouneff, bodygard du Festival
Ma Santé ? La « carrosserie est un peu abîmée mais le moteur est intact »
confie Jean Rochefort avec Humour et Autodérision
Jean Rochefort rejoint son jury
afin d’assister à la projection du film en compétition
L’équipe Studio Franck Provost a réalisé les coiffures des Stars pendant toute la durée du Festival
Le Grand Hôtel Barrière a, pour l’occasion, transformé une de ses suites en Salon de Coiffure géant
Amara Karan
Amara est née à Wimbledon, ses parents sri-lankais tamouls avaient émigré en Grande-Bretagne de la Zambie deux ans avant sa naissance.
Elle poursuit ses études au Collège Sainte-Catherine,Université d’Oxford puis elle a commencé à jouer dans des pièces d’amateur, le Dimanche Matin au Centre du Monde au Burton Taylor Theatre.
La critique fut élogieuse et Amara fut remarquée pour sa performance dans Lorsque Nous Nommes Mariés au Old Fire Station Theatre. Pendant son séjour à Oxford, Amara Karan a écrit, réalisé, produit et joué dans un court-métrage, By Myself
Elle portait 2008 de la flamme olympique lors de son séjour à Londres
Amara Karana fait ses débuts au cinéma dans The Darjeeling Limited de Wes Anderson.
La première du film eut lieu à la Mostra de Venise 2007.
Elle a fait ses débuts sur scène en 2008 dans une production du RSC « Le Marchand de Venise » et avec le personnage de Bianca dans une production du RSC La Mégère apprivoisée
Bernard Le Coq
Bernard Le Coq est né au Blanc dans l‘Indre, il s’inscrit à 15 ans dans une école d’art dramatique, le cours Claude Viriot à Paris.
Apparu à l’écran en 1966 dans Les Grandes vacances, il est remarqué par Michel Boisrond, qui lui offre son premier vrai rôle dans La Leçon particulière.
Le début des années 1970 est une période faste pour lui, il tourne bientôt avec Claude Sautet, César et Rosalie, Claude Lelouch, Mariage, ou encore Serge Korber dans Les Feux de la Chandeleur présenté à Cannes en 1972.
La décennie 70 est aussi celle du théâtre qui prend une place non négligeable dans sa carrière avec entre autres une pièce de Woody Allen, Une Aspirine pour deux en 1976, mais aussi Mercredi trois-quarts en 1977, A la renverse en 1980, Trois fois rien et L’Étrangleur s’excite mis en scène par Jean Rochefort.
C’est d’ailleurs durant la même année qu’il apparaît au générique de deux polars français:Pile ou face avec Michel Serrault et Philippe Noiret, et Trois hommes à abattre avec Alain Delon.
Au début des années 90, Bernard Le Coq doit sa notoriété à ses prestations dans des séries télévisées à succès,comme Une famille formidable, dans lequel il forme, avec Anny Duperey, un couple très populaire.
C’est après l’avoir vu dans le feuilleton Panique aux Caraïbes que Maurice Pialat décide de lui confier le personnage de Théo, le frère de Van Gogh,un rôle qui lui vaut une nomination au César du Meilleur second rôle, en 1992. L’année suivante, on le retrouve en espion manipulateur dans Les Patriotes. Il continue également à jouer dans des téléfilms calibrés pour le petit écran. Ainsi, en 1996, il interprète un détective dans un diptyque policier: Berjac: Coup de maître et Berjac: Coup de théâtre
Bernard Le Coq s’impose comme un des grands seconds rôles du cinéma français, incarnant avec délectation les hommes de pouvoir : lieutenant, Le Capitaine Conan ou général, Joyeux Noël, inspecteur, Mon homme ou directeur de prison, La Taule, producteur, Pourquoi pas le Brésil ou rédacteur en chef, Caché.
Sur un mode plus tendre, il campe un psychiatre dans Se souvenir des belles choses, une performance saluée par le César du meilleur second rôle en 2003.
Poursuivant de ses assiduités Huppert, L’Ecole de la chair et Deneuve, Au plus près du paradis, Bernard Le Coq, avec ses airs de notable, mais aussi une bonne dose d’ironie, avait tout pour séduire Chabrol, qui lui attribue deux rôles savoureux dans La Fleur du mal et La Demoiselle d’honneur en 2003.
En 2007, il est à l’affiche d’un thriller, Vent mauvais et d’un drame historique, L’Occitanienne, dans lequel il tient le rôle du célèbre écrivain François-René de Chateaubriand.
4 ans plus tard, Xavier Durringer lui permet de jouer à nouveau les hommes illustres :
dans La Conquête, il interprète l’ancien Président de la République, Jacques Chirac, aux côtés de Denis Podalydès ,Nicolas Sarkozy.
119 Films – 13 séries – Bernard Le Coq a reçu trois nominations aux Césars du Cinéma. « allociné »
Alexandra Lamy est née là Villecresnes dans le Val-de-Marne
En 1990, Alexandra Lamy suit les cours du conservatoire de Nîmes dans le Gard.
En 1995, Alexandra obtient son premier rôle dans une publicité réalisée par Patrice Leconte.
La même année, elle fait une apparition dans La Croisière foll’amour.
Elle est devenue célèbre grâce à la série télévisée à succès Un gars, une fille, diffusée sur France 2, qui compte 486 épisodes d’octobre 1999 à juin 2003, et où elle est la partenaire de Jean Dujardin. Ils interprètent les personnages nommés comme eux Jean et Alexandra, dite Alex, alias Chouchou, elle, et Loulou, lui, puis sont devenus un couple dans la vie comme sur scène.
Alexandra Lamy fait du théâtre en plus de ses rôles pour la télévision et le cinéma.
Elle a été nominée aux Molières 2004 dans la catégorie : Révélation théâtrale féminine, pour son rôle dans Théorbe.
On a pu l’apercevoir dans Palizzi, elle prête notamment sa voix à Rose McGowan dans Grindhouse.
En 2009, elle vient présenter le film Ricky de François Ozon au 59e Festival de Berlin, qui est en compétition pour l’Ours d’or.
En 2010, elle apparaît dans la publicité exposant le jeu vidéo Wii Fit Plus.
En 2012, elle réalise un reportage sur l’histiocytose pour l’émission Envoyé spécial, diffusé le 19 avril 2012 sur France 2. Alexandra Lamy a suivi le quotidien d’une famille et d’une mère, Géraldine, dont l’enfant est porteur d’une maladie très rare qui touche, en France, de 50 à 60 jeunes enfants par an et, probablement, même si c’est moins assuré autant d’adultes.
Elle se caractérise par la présence anormale dans certains tissus de cellules de Langerhans, cellules qui participent ordinairement à la défense de l’organisme
Bertrand Faivre
Bertrand Faivre débute dans la production de longs métrages avec Lazennec en 1996 où il produira Mefie-toi De L’eau Qui Dort de Jacques Deschamps , Prix de la jeunesse Venise 1996, puis Je Ne Vois Pas Ce Qu’On Me Trouve de Christian Vincent, Le voyage à Paris, de Marc-Henri Dufresne, La fille de son père, de Jacques Deschamps et enfin Les Diables de Christophe Ruggia, Grand Prix Cannes Junior.
Il monte la société de production indépendante britannique The Bureau en 2000 et, l’année suivante, Le Petit Bureau et Le Bureau, en France. Il produit en 2001 en Angleterre, tourné en au Rajasthan et dans l’Himalaya, The Warrior d’Asif Kapadia, couronné de deux BAFTA, British Academy Awards, dont celui du Meilleur Film Britannique de l’année en 2002.
Il alterne ensuite productions françaises et anglaises: en 2005 Sauf Le Respect Que Je Vous Dois de Fabienne Godet, Grand Prix Miami; Meilleur réalisateur Shanghai; Isolation de Billy O’Brien, Grand Prix et Prix de la critique à Gérardmer, 3 prix au Screamfest de LA, dont meilleur film et meilleur réalisateur; « Julia », d’Erick Zonca, produit avec François Marquis en 2007, ou encore « L’affaire Farewell » de Christian Cario , en cours de production avec Christophe Rossignon et Philip Boeffard
En tant que coproducteur, entre la France et l’Angleterre, Bertrand Faivre s’est investi sur des projets aussi divers que Ratcatcher de Lynne Ramsay,BAFTA de la meilleure première œuvre 2000, L’annulaire de Diane Bertrand, Joyeux Noël de Christian Carion, 2005, « Espions » de Nicolas Saada, 2008, « London River » de Rachid Bouchareb.
En avril 2009 s’annonce également la sortie du film « Ne me libérez pas, je m’en charge », réalisé par Fabienne Godet et distribué par Haut et Court. « Ne me libérez pas… » est un portrait de Michel Vaujour, personnalité hors du commun qui en l’espace de 30 ans, aura passé 27 ans en prison – dont 17 en cellule d’isolement – et sera parvenu à s’en échapper à cinq reprises avant d’obtenir une libération conditionnelle – de 16 ans! – en 2003.
Bertrand Faivre a obtenu le Prix Georges de Beauregard du Meilleur Producteur de “courts-métrages”
Natalie Dormer
Natalie Dormer , issue d’une famille modeste, se destinait à des études d’histoire à l’université.
Cependant elle change d’orientation et s’inscrit à la Webber Douglas Academy of Dramatic Art. Elle est, par ailleurs, membre de la Fencing Academy de Londres.
Passionnée par le poker, Natalie Dormer a participé au tournoi féminin mondial de PartyPoker.com où elle est arrivée à la seconde place du Celebrity Heat.
Natalie Dormer commence sa carrière d’actrice dans le film Casanova où elle joue, aux côtés de Heath Ledger, le rôle de Victoria. Cette performance lui permet de décrocher un contrat d’exclusivité avec les studios Disney Touchstone pour trois films qui ne verront jamais le jour.
En 2007 et 2008, elle décroche le premier rôle féminin des deux premières saisons de la série Les Tudors : aux côtés de Jonathan Rhys Meyers et Henry Cavill, elle y joue Anne Boleyn, la deuxième et infortunée épouse du roi d’Angleterre, Henry VIII. Elle reçut de nombreux éloges pour sa performance dans l’interprétation de son personnage.
En 2008, elle tient le rôle de Moira Nicholson dans l’épisode Pourquoi pas Evans ? de la série Miss Marple.
En 2009, elle apparaît dans le film City of Life. L’année suivante, elle tourne sous la caméra de Madonna, dans son film W.E. sorti en 2011. Elle y tient le rôle d’Elizabeth Bowes-Lyon.
Natalie Dormer intègre le casting de la série Game of Thrones dans la deuxième saison, y incarnant le rôle de Margaery Tyrell.
Dès 2013, elle apparait dans le rôle récurrent d’Irène Adler alias Moriarty dans la série Elementary, une adaptation moderne des aventures de Sherlock Holmes.
Elle interprète Door dans une fiction radiophonique sur BBC Radio 4 tirée du roman Neverwhere de Neil Gaiman.
En 2014, elle obtient le rôle de Cressida dans Hunger Games : La Révolte, partie 1, puis elle reprend ce rôle en 2015 dans Hunger Games : La Révolte, partie 2.
Depuis 2011, elle est en couple avec Anthony Byrne, qu’elle a rencontré à Dublin sur le tournage des Tudors en 2007.
Natalie Dormer a déclaré que Cate Blanchett a été une grande influence dans sa carrière en tant qu’actrice
La « minute » Blooooooonde …
« Hey Guys …&!$°(@)G§!!! » The propriety forbids the translation
Miss Dormer ne voulait plus de photo ! caprice de starlette, le Festival ne déroge pas à la règle …
Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises !
mais il y a une façon plus élégante de le dire, car c’était pas joli, joli …
Noah Taylor
Noah Taylor, aîné de deux garçons, est né à Londres,
fils de Maggie, une journaliste et éditrice et Paul Taylor, un rédacteur publicitaire et un journaliste.
Ses parents, australiens, sont retournés en Australie quand il avait cinq ans et il a grandi à Clifton Hill et Saint Kilda, dans la banlieue de Melbourne. Ses parents ont divorcé quand il avait 14 ans.
Noah Taylor a quitté l’école et sa maison à 16 ans sans l’intention de devenir un acteur. Un ami lui a suggéré qu’il essaye le théâtre comme activité le week-end et Noah Taylor a trouvé l’expérience si agréable qu’il a décidé d’y faire carrière.
Après avoir joué des pièces au St Martin’s Youth Theater à South Yarra pendant une année, il a attiré l’attention du réalisateur John Duigan, qui le fait jouer dans le film de 1987 The Year My Voice Broke.
Noah Taylor est aussi apparu dans sa suite, Flirting en 1991; le troisième n’a pas été filmé.
Noah Taylor a d’abord gagné l’attention internationale en jouant le jeune pianiste torturé David Helfgott dans Shine de 1996.
Son Curriculum vitæ inclut des films d’action, Lara Croft : Tomb Raider, des comédies, La Vie aquatique, des thrillers psychologiques, Vanilla Sky
et des drames historiques, Max, dans lequel il joue le jeune Adolf Hitler.
Noah Taylor a déclaré dans une interview qu’il en avait assez de représenter les réminiscences nostalgiques d’autres personnes.
Il l’a fait dans un certain nombre de films dont The Nostradamus Kid, film basé sur les mémoires de l’auteur australien Bob Ellis, le jeune David Helfgot dans Shine, basé sur le livre de la sœur d’Helfgot, le protagoniste dans les mémoires de John Birmingham He Died with a Felafel in His Hand, et Presque célèbre, basé sur les mémoires de l’auteur du film et le réalisateur, Cameron Crowe.
Il apparaît dans la vidéo Fifteen Feet of Pure White Snow – une chanson du groupe Nick Cave and the Bad Seeds. L’on retrouve également Noah Taylor dans le thriller mystérieux de Simon Rumley, Red, White & Blue ainsi que dans le vidéo-clip du titre Romeos du groupe de new wave allemande Alphaville en 1989.
L’acteur, souvent amené à jouer des personnages de vilains malsains, étend sa palette d’interprétations et se fraie une place dans le registre de la comédie cocasse et burlesque, comme dans le décalé La Vie aquatique de Wes Anderson ou encore le joliment rétro Submarine, 2010 de Richard Ayoade, où il y joue le père d’un ado dépressif. Un rôle de paternel qu’il incarne aussi dans Charlie et la chocolaterie, 2005, de Tim Burton où il campait Mr Bucket, le père, modeste mais brave, de Charlie.
En 2014, il tourne pour la seconde fois sous la direction de Richard Ayoade dans l’énigmatique The Double, avec Jesse Eisenberg en tête d’affiche. Côté télévision, il compte parmi les acteurs de Game of Thrones, la série-phénomène de la chaîne HBO, où il se glisse dans l’armure de Locker, un chasseur redoutable à la poursuite de Jaime Lannister Nikolaj Coster-Waldau. « allociné »
Mélanie Doutey
Après un DEUG d’anglais, elle étudie à l’Ecole d’Art Dramatique Jean Périmony, puis au Conservatoire, et débute au cinéma en 1998 dans Les Gens qui s’aiment de Jean-Charles Tacchella.
En 2001, elle tient le rôle principal du film Leïla de Gabriel Axel, puis enchaîne l’année suivante avec Le Frère du guerrier de Pierre Jolivet pour lequel elle obtiendra une nomination au César du meilleur espoir féminin. Elle ressort diplômée en 2002 du Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris.
En 2003, elle joue dans La Fleur du mal, une chronique bourgeoise de Claude Chabrol. Elle obtient cette même année le Prix Suzanne-Bianchetti.
En 2004, on la retrouve dans le film espagnol El Lobo aux côtés d’Eduardo Noriega.
En 2005, Mélanie Doutey joue le rôle titre dans la série télévisée Clara Sheller, qui la révèle concrètement au grand public.
Malgré le grand succès de cette série, six millions de téléspectateurs sur France 2, elle ne reprend pas son rôle pour une deuxième saison, préférant privilégier sa carrière au cinéma et au théâtre
En 2006 on retrouve Mélanie Doutey sur le grand écran dans Président de Lionel Delplanque aux côtés d’Albert Dupontel, dans Fair Play avec Marion Cotillard et Benoît Magimel ainsi que dans la comédie musicale On va s’aimer d’Ivan Calbérac.
En 2007, Mélanie Doutey revient au théâtre dans la pièce Confidences trop intimes aux côtés de Jacques Gamblin. Elle est aussi à l’affiche de la comédie romantique Ce soir je dors chez toi ainsi que du téléfilm allemand Troie, la cité du trésor perdu, diffusé sur Sat.1, et qui fut entièrement tourné en anglais.
En 2008, Mélanie Doutey tourne dans Une femme à abattre, puis participe aux films Le Bal des actrices de Maïwenn et Rien de personnel de Mathias Gokalp, 2009, qui furent bien reçus par la critique.
Fin 2009, Mélanie Doutey partage l’affiche avec Kad Merad pour le film d’aventures R.T.T.
Elle est à l’affiche du film Une petite zone de turbulences en 2010 d’Alfred Lot,avec Michel Blanc et Miou-Miou puis participe en tant que jury au Festival Premiers plans d’Angers
Lauren McQueen
actrice britannique du film en compétition The Violators réalisé par Helen Walsh
The Violators est son premier long métrage,
dans lequel elle interprète le rôle de Shelly, qui est le personnage clé de ce film
Alexandra Lamy est la sœur aînée de l’actrice et humoriste Audrey Lamy, et la cousine de l’homme politique socialiste François Lamy.
Alexandra a été la compagne de l’acteur suisse, Thomas Jouannet, de 1995 à 2003.
Ensemble, ils ont une fille, Chloé, qui est également actrice.
En 2003, Alexandra devient la compagne de l’acteur, Jean Dujardin, rencontré sur le tournage de la série, Un gars, une fille.
Ils se sont mariés le 25 juillet 2009 à Anduze. Le 12 novembre 2013, Jean Dujardin a annoncé leur séparation sur BFM TV.
En octobre 2013, Alexandra a déclaré qu’elle vit désormais à Londres, avec sa fille
Helena Mackenzie
Helena Mackenzie est responsable des investissements et du développement pour Film London.
Elle a exercé auparavant diverses activités dans le secteur de la production, de la distribution et de la vente à l’international.
Elle a également contribué à un magazine du secteur cinématographique, produit un film primé ainsi que plusieurs soirées de remises de prix pour le cinéma et la télévision.
Dans le cadre de ses fonctions à Film London, elle est chargée de la promotion de la production cinématographique et télévisuelle dans la ville de Londres, de la gestion de programmes internationaux dans ce domaine et de la collaboration avec les marchés émergents comme le Brésil, la Chine et l’Inde.
« Après avoir habillé la plage de l’hôtel Majestic pendant le dernier Festival de Cannes
ainsi que le restaurant éphémère de Jean Imbert et les loges VIP
lors de la dernière édition de Cinema Paradiso au Grand Palais,
BoConcept ne s’arrête pas là !
A l’occasion de la 26è édition du Festival du Film Britannique de Dinard
BoConcept sort de nouveau le tapis rouge et renouvelle son partenariat
en investissant quatre espaces clés du Festival.
Au fil des ans, le Festival du Film Britannique de Dinard a acquis une réputation,
puis a révélé et accueilli beaucoup de Stars Nationales comme Internationales
Daniel Craig – James Bond – en 2001
12e édition du Festival du Film Britannique de Dinard
Sources :
http://www.festivaldufilm-dinard.com/fr/
https://en.wikipedia.org/wiki/Amara_Karan
https://fr.wikipedia.org/wiki/Natalie_Dormer
https://fr.wikipedia.org/wiki/Noah_Taylor
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Le_Coq
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandra_Lamy
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Faivre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Salvadori
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virginie_Efira
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mélanie_Doutey
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Rochefort
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Faivre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alliance_anti-corrida
http://www.cadreo.com/nominations/dt-gilles-tellier
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histiocytose_langerhansienne
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Enfants_de_Don_Quichotte
http://www.festivaldufilm-dinard.com/fr/non-classe/amara-karan
http://www.clefsdor-france.org/asso5/images/Ficheconcierge.pdf
https://www.boconcept.com/fr-fr/news/whats-new/news/nationalcampaign1
http://www.festivaldufilm-dinard.com/fr/festival-2015/helena-mackenzie
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-22908/biographie/noah taylor
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-18572/biographie/bernardlecoq
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-13611/biographie/emmadecaunes
http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/l-homme-qui-chuchote-a-l-oreille-des-stars-02-01-2011-1209942.php
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